Après la débâcle du Syli national de Guinée à la dernière CAN organisée en Égypte, la Fédération Guinéenne de Football traverse une crise interne sans précédent. Elle est plus que déchirée dans son histoire. Car cette crise semble endémique à ce jour.

L’un des aspects les plus regrettable , c’est les regards hagards dont les occupants d’un même département font montre entre eux depuis plusieurs semaines.

Le département de la communication de cette institution, censé être neutre et impartial, dont la mission devrait consister à redorer l’image de cette institution footballistique pendant cette période de crise, se livre plutôt à une guerre égocentrique.

Composé d’une quinzaine de journalistes issus de plusieurs médias (Publics et privés) se mêle honteusement à la danse à travers des empoignades nourries et également par médias interposés au risque de s’entredéchirer.

Pis, le climat est tendu et des confrères se regardent en chien faïence à cause des intérêts personnels égoïste, en foulant au sol le principe de la confraternité.

Eu égard ces prises de position, je suis enclin à dire que ce groupuscule de journalistes choisi sur le tas avait alors pour seule mission de servir les hommes (le président et son vise président) que de servir l’institution.

Au travers des publications parsemées ça et là, on comprend aisément et visiblement, que ce groupe de journalistes était auparavant divisé chacun ayant sa main sur la gâchette.

Dont un groupe était et est à la solde du président de la Feguifoot et un autre à la solde de son vice président. Une division totale au sein de la galaxie des journaliste missionnaires. LA HONTE.

Par ailleurs, plusieurs allégations sont montées de toutes pièces contre des personnes  »innocentes » qui seraient à la base de cet échec, à en croire certains journalistes de ce département empli de taupe. Comme pour dire que  »celui qui n’aime pas son chien l’accuse de la rage  ».

Rappelez vous de cet adage je cite  » Celui qui règne par les armes périra par les armes  ».

Guilao le Toma

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